Avez-vous remarqué que certaines personnes, frappées par le destin ou des circonstances adverses de la vie (pertes de travail, séparation, mauvais traitements, etc.) sont accablées par le destin, alors que d’autres au contraire rebondissent et semblent sortir encore plus fortes de l’épreuve.
Comment certains prisonniers des camps de concentration, tel Viktor Frankl, arrivent-ils à rebondir après une telle épreuve et à vivre non seulement heureux, mais choisissent délibérément de contribuer activement à créer un monde meilleur?
Cette faculté de rebondir face à l’adversité s’appelle « la résilience ». Avouons que la vie n’est pas un long fleuve tranquille et que même les microtraumatismes de la vie, nécessitent que nous développions notre capacité de résilience. Et entre vous en moi, qui n’a pas été bousculé un jour ou l’autre dans sa vie? À un certain moment de ma vie, je me suis demandé, bien honnêtement, comment devient-on résilient?
J’ai découvert que la résilience est un processus allant bien au-delà du simple fait de surmonter une épreuve ou de survivre à une adversité quelle qu’elle soit. Il s’agir de rebondir, de retrouver une trajectoire positive et motivante, et d’avoir une vie intérieure de qualité. Être résilient inclue, le respect de soi et des autres, ainsi que la compassion.
Mais quelles sont donc ces facultés extraordinaires de ces personnes qui semblent être exceptionnelles, de par leur capacité à rebondir ? Diverses études sur le sujet démontrent que ces personnes n’ont pas de capacités hors du commun, mais qu’elles ont développé des qualités que nous avons tous en nous à un certain degré. Tel, développer une communication de qualité, avoir le sens des valeurs, exprimer de la gratitude, savoir pardonner et vivre dans l’instant présent. Ce sont de fait, les capacités de bases pour être fort intérieurement et heureux, quelle que soit les circonstances extérieures.
Ceci dit la résilience n’est pas un acquis définitif, il faut la cultiver. Elle se compose d’un équilibre entre d’une part, le stress et les difficultés et d’autre part, la capacité à faire face à la situation, ainsi que la capacité de recourir à du soutien extérieur. Et là attention aux ces deux facteurs de contre-résilience, la honte et la culpabilité. Il est donc important de savoir lâcher-prise sur ces 2 facteurs.
Maintenant de 1 à 10, quel est votre niveau de résilience actuellement ? Lesquelles de ces capacités avec vous développez jusqu’à aujourd’hui ? Quelles sont celles qu’il vous reste à acquérir pour être davantage résilient, heureux et créateur de votre succès ?
À suivre dans ma prochaine infolettre, d’autres pistes pour être un leader résilient et inspirant.
Si vous faites partie de ces personnes qui veulent se choisir et avoir le plaisir de vivre en cohérence avec qui ils sont; je vous invite à découvrir le programme Leader d’Avant-Garde
©Tous droits réservés. Ce texte a été créé et rédigé par Francyne Ste-Marie, coach. Vous avez l’autorisation le partager et de l’utiliser, nous vous demandons simplement de le publier dans son intégralité et sa totalité en citant sa source, ainsi que ce lien www.francynestemarie.com